Les effets du réchauffement se confirment

Quelques jours avant la conférence , le 1er décembre 2004, on pouvait lire un article du Centre Hadley de météorologie paru dans le journal scientifique "Nature" : À l'avenir, les canicules, comme celle de 2003, augmenteront de façon substantielle.

Une réflexion s'amorça alors : le protocole de Kyoto est contraignant pour les signataires qui s'engagent à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. les pays industrialisés à réduire leurs émissions. Les États-Unis ont refusé de le ratifier. En revanche, les États-Unis ratifient la Convention Climat.

Le refus de certaines parties

Bien que, selon le règlement de l'ONU, la Convention Climat est placée au-dessus du Protocole de Kyoto, les États-Unis refusent de discuter du futur et maintiendront leur refus en jouant les négationnistes. En effet, ils estiment qu'il n'y a pas de lien de causalité entre les événements climatiques majeurs de ces dernières années et l'augmentation de CO2.

D'autres états campent égaiement sur leurs positions : Outre les États–Unis, premier pollueur mondial, dont on connait la position, les producteurs de pétrole suivent les positions américaines, puisque leurs revenus risquent de baisser si les états réduisent leurs importations d'hydrocarbure.